Le banquier Baltasar aurait brisé le silence : « Aucune femme n’a été forcée, elles ont trompé leurs maris parce que… »

Quelques jours après la fuite de ses nombreuses s3xtapes avec plusieurs femmes, Baltasar, l’homme d’affaires équato-guinéen, aurait brisé le silence.

Sur TikTok, un compte portant le nom de Baltasar est monté sur un live pour relater les faits aux internautes. L’auteur de ce compte (qui serait l’homme d’affaires), s’est prononcé sur les circonstances de la réalisation de ces vidéos.

« Sachez que les vidéos sont claires. Il n’y a aucune femme qui a été forcée, et il n’y aura pas de plainte venant de ces femmes. Tout simplement parce qu’il y a des pièces à conviction.

Elles-mêmes savent qu’elles sont filmées et elles se laissent aller. Il n’y a pas eu de manipulation spirituelle.

J’ai une femme et 6 enfants. Ce que je déplore, c’est que ma femme ne m’a jamais attrapé dans les histoires de tromperie.

C’est depuis quelques jours qu’elle s’est rendu compte de cela. Je suis désolé pour elle et pour tout ça. Parce que je n’avais pas l’intention que ça sorte« , a-t-il déclaré.

Plus loin, ce dernier n’a pas manqué de faire des reproches aux maris de ces femmes. Il les a accusés d’avoir négligé ces dernières, raison pour laquelle elles les ont trompées.

« Je n’ai forcé aucune femme, et elles ne sont pas mineures. Les hommes, ce qui pousse vos femmes à vous tromper, c’est le manque d’attention.

Prenez soin d’elles. Parce qu’apparemment, vous les mariez et vous les déposez à la maison comme des télés.

Vous vous contentez de courir derrière les femmes qui sont dehors. Voici ce que ça provoque. Donc je pense que vous devez leur accorder de l’attention.

Ce sont les petits détails qui comptent. Je n’ai pas de médicament. Vous devez vous rendre compte de comment vous négligez vos femmes à la maison« , a-t-il conclu.

Faut-il le préciser, ces propos sont à vérifier, puisque le monsieur n’a pas voulu montrer son visage. Et aux dernières nouvelles, Baltasar est en prison. Son téléphone et son PC sont dans les mains de la police. Nous y reviendrons.