L’Afrique du Sud, le Lesotho et le Swaziland forment une riche mosaïque de cultures et de groupes ethniques. L’Afrique du Sud fût marquée par de profonds conflits raciaux mais les deux enclaves du pays n’ont pas connu de classification racial et le racisme n’y est pas une monnaie courante. Pas moins de 11 langues sont admises et reconnues comme officielles dans la constitution sud-africaine. C’est d’ailleurs le pays du monde ayant le plus de langues officielles. Les Nguni, le plus grand groupe ethnolinguistique du pays inclue les Zoulous, les Swazi, les Xhosas et les Ndebele. Les Sotho-Tswana, les Tsonga-Shangaan et les Venda sont également des groupes majeurs dans le pays. Nous avons aussi comme ethnies les Basotho, les Vendas, les Afrikaners, les Métis.
La musique
La musique d’Afrique du Sud a une histoire riche et complexe, à l’image de celle du pays dans lequel ellend vie. Une culture musicale qui prend sa source dans les traditions ancestrales et qui s’est laissée fortement influencer par la lutte contre l’apartheid qui n’est jamais parvenu à empêcher les contacts et les échanges musicaux.
La danse
Dans l’histoire du pays pays, la danse est une forme de célébration pour le culte des ancêtres. Elle servait aussi à manifester la force des guerriers à l’approche du combat. La plus connue est certainement, danse Zoulou. Toutefois, il ne faut pas oublier les danses urbaines inventée par les mineurs qui communiquaient en tapant des pieds et des mains à un rythme effréné ou encore la danse « Pantsula » venue des townships dans les années 80 qui permit aux sud-africains de s’exprimer librement et de s’évader. D’origine populaire, clandestine sous l’apartheid.