À seulement 22 ans, Rokhaya Gueye s’impose comme l’un des nouveaux visages incontournables du cinéma sénégalais. Son rôle saisissant de Fa Bintou Ndiaye dans la série à succès Baabel a immédiatement conquis le cœur du public, faisant d’elle une étoile montante à suivre de très près.
Un héritage artistique assumé
Rokhaya ne tombe pas dans le monde du spectacle par hasard. Elle est la petite-fille du célèbre comédien Azou Gueye, alias Azou le beau, et d’Aminata Fall Nar, deux figures emblématiques de la scène culturelle sénégalaise. Chez les Gueye, l’art est une histoire de transmission, et Rokhaya incarne brillamment cette relève pleine de promesses.
Un parcours marqué par la diversité
Originaire de Rufisque, Rokhaya a grandi entre Kaolack et Bargny avant de poser ses valises à Dakar. Ces multiples influences régionales ont façonné une jeune femme connectée aux réalités sociales du pays, une richesse qu’elle infuse avec subtilité dans chacun de ses rôles.
Une carrière lancée tôt, mais avec assurance
Elle fait ses premiers pas à l’écran à seulement 19 ans dans la série Laye Diarra produite par Marodi. Depuis, elle enchaîne les projets avec passion et ambition. « C’est mieux de défier ses limites que de limiter ses défis », affirme-t-elle, un mantra qu’elle traduit chaque jour par son engagement et sa rigueur sur les plateaux.
L’avenir lui appartient
Consciente de la place grandissante qu’elle occupe, Rokhaya Gueye n’a qu’un objectif : durer. Elle sait que le public est exigeant, mais elle est prête à relever tous les défis pour s’imposer durablement dans le paysage audiovisuel sénégalais.
Avec talent, authenticité et détermination, Rokhaya Gueye est bien plus qu’une révélation : elle est une promesse pour l’avenir du cinéma africain.
