Scandale des s3xtapes en Guinée équatoriale : les craintes d’une propagation du VIH
Le scandale des 3extapes impliquant le haut responsable Baltasar Ebang Engonga en Guinée équatoriale soulève de sérieuses préoccupations concernant la santé publique dans le pays.
En plus des révélations choquantes sur les abus de pouvoir et la corruption au sein des élites, certaines informations font état d’un risque de propagation du VIH/sida.
Selon les informations, Baltasar Ebang Engonga, surnommé « Bello », serait accusé d’avoir été porteur du virus du sida et d’avoir contaminé certaines de ses partenaires s3xuelles, aussi bien en Guinée équatoriale que dans des pays voisins comme le Cameroun.
Parmi les femmes filmées dans les s3xtapes se trouveraient notamment l’épouse du chef de la sécurité présidentielle, ainsi qu’une proche du puissant ministre de la Sécurité publique. Des personnalités issues des plus hautes sphères du régime d’Obiang Nguema.
Face à cette situation préoccupante, les autorités ont promis de sévir contre tous les fonctionnaires impliqués dans ces comportements « irresponsables ». Le vice-président Teodoro Nguema Obiang Mangue a notamment déclaré que « les relations s3xuelles sont interdites dans les bureaux ».
Cependant, au-delà des sanctions envisagées, ce scandale soulève la nécessité urgente de mettre en place des campagnes de dépistage et de prévention du VIH dans le pays. Les victimes potentielles de Baltasar Ebang Engonga doivent être identifiées et prises en charge rapidement.
Plus généralement, cette affaire met en lumière les risques sanitaires liés à la corruption et aux abus de pouvoir au sein de l’élite politique en Guinée équatoriale. Elle appelle à une réforme en profondeur du système de santé publique pour mieux protéger la population.
Le scandale des s3xtapes ne se résume pas seulement à une crise politique. Il comporte également des enjeux cruciaux en termes de santé publique, que le gouvernement ne peut plus ignorer.