L’ail n’est pas que savoureux, il est aussi très sain !
Lorsque nous nous épuisons à la tâche en cuisine, nous ajoutons souvent une ou deux gousses d’ail au plat que nous cuisinons. L’ail peut accentuer les saveurs de nombreux plats. Bien sûr, ça donne une mauvaise haleine, mais ce n’est qu’un petit sacrifice car l’ail est si savoureux – il est aussi très bon pour vous. Voici quelques-unes des raisons !
1. Il aide contre une pression artérielle élevée
Votre pression sanguine est-elle trop élevée ? Ajoutez une petite gousse d’ail dans votre dîner. L’ail a un effet positif sur votre cœur et vos vaisseaux sanguins. Des recherches conduites par l’Université d’Adélaïde montrent que l’ail est un remède contre la pression artérielle élevée. Les vaisseaux sanguins du corps se détendent et s’étendent grâce à l’ail, ce qui améliore la circulation sanguine et diminue la pression artérielle. Apparemment, l’ail peut diminuer votre pression sanguine de sept à huit pourcent.
2. L’ail pour combattre certains virus et infections
L’ail possède des propriétés antimicrobiennes, antiseptiques, anti-inflammatoires, anti-bactériennes, antibiotiques, antifongiques et antivirales. Ce qui fait de lui un aliment capable de chasser et d’éliminer un grand nombre de bactéries pathogènes quand elles parviennent à s’introduire dans notre organisme.
L’ail est donc un allié de taille pour lutter contre de très nombreuses maladies infectieuses comme : le rhume, l’angine de poitrine, le mal de gorge… mais également l’acné ou les verrues (grâce à ses vertus purifiantes), le psoriasis (grâce à des composés sulfuriques qui calment les inflammations de la peau), ou encore des intoxications alimentaires (notamment la salmonellose).
3. Il éloigne les tics et les moustiques
Les moustiques et les tics détestent l’odeur de l’ail, même si les scientifiques n’ont pas encore été en mesure de déterminer pourquoi. Une recherche montre que vous serez beaucoup moins piqué par les moustiques si vous frottez de l’ail directement sur votre peau. Ça aide aussi d’en manger un peu. Les chercheurs disposaient d’un groupe de personnes qui consommaient beaucoup d’ail dans leur alimentation et d’un autre qui n’en consommait pas du tout. Les personnes qui avaient mangé beaucoup d’ail lors de cinq mois précédents avaient beaucoup moins de piqûres de moustiques en comparaison avec les autres qui n’avaient pas mangé d’ail.