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« Dubaï Porta Potty » ou l’enrichissement dégueulasse de certaines influenceuses

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Des vidéos choquantes, montrant des scènes obscènes et dégoutantes, circulant sur les réseaux sociaux, accablent les prétendues influenceuses qui disent se rendre à Dubaï pour des affaires.

C’est un gros scandale sexuel qui a été dévoilé dans cette affaire de « Dubaï Porta Potty », ( un terme qui désigne des toilettes portables),  à travers la diffusion de ces vidéos, fortement déconseillées aux âmes sensibles. Ces images montrent des filles, souvent même des hommes, mangeant des excréments humains, ou laissant leur partenaire leur déféquer dans la bouche… pour de l’argent.

Ces  vidéos complètement ahurissantes de ces influenceuses qui acceptent des pratiques sexuelles inimaginables pour de l’argent émeuvent la toile ces derniers jours où des internautes rivalisent d’imagination et d’inspiration, certains avec des commentaires poignants, d’autres avec des témoignages.

D’autres mêmes revendiquant avoir été victimes, disent vouloir se lâcher pour soulager leur conscience et ne pas mourir avec ce qu’ils qualifient de lourd fardeau, selon les fortunes diverses, innommables qu’ils auraient subis.

Sur certaines chaînes de télévision camerounaises qui raffolent des buzz, certaines filles qui soutiennent avoir été des victimes sexuelles à Dubaï, considéré comme l’eldorado par certains, sont allées livrer des témoignages saisissants. De leurs propos, on perçoit l’ampleur du phénomène et l’enfer que vivent certaines de nos sœurs africaines se réclament des influenceuses de haut niveau, devenues presque des objets sexuels dans ce pays.

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Comme pour jeter de l’huile au feu, l’homme de Dieu et adepte des réseaux sociaux, notamment Facebook, le Révérend ivoirien, Camille Makosso, a diffusé sur sa page, un écrit intitulé « le dossier de Dubaï Porta Potty ». Connu pour son franc-parler, l’activiste débordant ne passe pas par quatre chemins pour se vider sur le sujet.

« Le dossier de Dubaï Porta Potty est dégoûtant et scandaleux pour le continent africain (notamment) francophone », s’est offusqué celui qui se fait aussi appeler « influenceur ». Cette affaire qui enflamme la toile est « un réseau très secret où certaines ont déjà perdu la vie et certaines portées disparues jusqu’à ce jour », a-t-il déclaré, soulignant que ce sont des baronnes qui sont en charge des recrutements des africaines dans les milieux de celles sous les feux des projecteurs.

A en croire Camille Makosso qui a crié « honte honte honte », en Côte d’Ivoire, ce sont « 57 filles » qui ont été identifiées dans cette affaire. Il s’agirait de « 5 influenceuses, 7 miss, 8 artistes, 6 web comédiennes, 16 tik tokeuses, 7 mannequins et 2 animatrices télés chroniqueuses ».

Des influenceuses de la RDC et du Congo Brazzaville (78), du Sénégal, du Cameroun (43), Bénin (31), du Gabon (29), du Togo (26), du Burkina Faso (21) et de la Guinée (20), seraient également nommément citées dans la liste qu’il détient. Il souligne que la liste est longue pour les pays dont des influenceuses sont épinglées.

Vivement que des autorités compétentes des pays africains ou au niveau de Dubaï se saisissent de ce dossier en vue de l’élucider car une bonne frange de la jeunesse prend pour exemples ou idoles, ces « influenceuses » dont la morale et la dignité ont quitté leurs âmes.

Par Bernard BOUGOUM (Wakatsera)