C’est l’un des chanteurs les plus populaires du moment. Maître Gims était l’invité d’Audrey Crespo-Mara dans “Sept à huit” dimanche 6 juin. L’artiste de 35 ans a tout pour être heureux, mais avec une vie professionnelle aussi prenante, il a confessé avoir du mal à voir grandir ses enfants. Au point de tout quitter pour eux ? L’artiste y songe sérieusement.
En termes de popularité, Gims n’a pas grand chose à envier aux autres stars françaises. L’ancien membre de la Sexion d’Assaut est à l’apogée de sa carrière après d’innombrables tubes, de Bella à La Même en duo avec Vianney. Le chanteur à la voix d’or, qui a récemment fait pleurer Patrick Fiori, était l’invité du portrait de Sept à Huit dimanche 6 juin.
Une interview menée par la femme de Thierry Ardisson, Audrey Crespo-Mara et dans laquelle l’artiste s’est confié sur plusieurs sujets qui le touchent, comme le racisme dont il est victime. À la fin de leur entretien, la journaliste a évoqué avec le mari de Demdem sa famille et notamment ses quatre enfants.
Lorsqu’Audrey Crespo-Mara lui a demandé si avec toutes ses obligations professionnelles il n’est un père trop absent, sa réponse est très claire : “Je crois bien”. Une situation qui semble peser sur le chanteur, qui a néanmoins pu profiter du confinement pour vivre des moments avec les siens. “C’est vraiment le côté positif de toute cette crise, j’ai pu rester avec tout le monde et ça m’a fait énormément de bien”, a assuré le grand frère de Dadju.
Une crise sanitaire qui a forcément impacté les projets professionnels de Gims, mais qui lui a permis de revoir ses priorités entre sa vie de famille et les sorties d’album, les opérations promotionnelles et les tournées. Quand la journaliste 44 ans lui a demandé si ses absences répétées pourraient lui donner l’envie de tout arrêter et de mettre un terme à sa carrière, le chanteur n’y a pas été par quatre chemins : “Écoutez, honnêtement, j’y pense tout le temps… tout le temps, tout le temps”, répète-t-il avant de poursuivre : “C’est tellement dur de faire les bons choix (…) et donc j’y pense beaucoup”.